Sunday 7 January 2018

2b. Harnad, S. (2008) The Annotation Game: On Turing (1950) on Computing, Machinery and Intelligence

Harnad, S. (2008) The Annotation Game: On Turing (1950) on Computing,Machinery and Intelligence. In: Epstein, Robert & Peters, Grace (Eds.) Parsing the Turing Test: Philosophical and Methodological Issues in the Quest for the Thinking Computer. Springer 

This is Turing's classical paper with every passage quote/commented to highlight what Turing said, might have meant, or should have meant. The paper was equivocal about whether the full robotic test was intended, or only the email/penpal test, whether all candidates are eligible, or only computers, and whether the criterion for passing is really total, liefelong equavalence and indistinguishability or merely fooling enough people enough of the time. Once these uncertainties are resolved, Turing's Test remains cognitive science's rightful (and sole) empirical criterion today. 

Le test de Turing : les débuts de l'intelligence artificielle (vidéo)




7 comments:

  1. Une génération avant nous, Turing s’est demandé si les machines pouvaient penser. Comme la question est très complexe. Mr Turing a reformulé la question en créant un jeu d’imitations.

    Il s’est dit que si une machine agis comme un être pouvant faire preuve de cognition, alors forcément, une machine fait de la cognition. Le jeu d’imitation porte maintenant le nom de “test de turing”.

    Ce test comporte un observateur ( l’humain ou la machine ) et un homme et une femme. l’observateur n’a aucun moyen autre que du courriers numériques pour échanger avec l’homme et la femme. Il ne peut ni les entendres ni les voir. Ceci a pour but d’éliminer que l’on “devine” le sexe de son correspondant avec, par exemple, l’intonations de la voix. D’autre critère ont été rajouté, mais le principe reste le même.

    Il sera considéré comme étant “cognitif” s’il arrive a déterminer le sexe de ses correspondants.

    Le problème est que un programme très bien programmé arrive à nous tromper. Et que maintenant, les machines sont capable d’apprendre par essaies-erreurs. Le test de turing n’établit pas nécessairement une frontière claire entre cognition et simple computation.

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    1. Maintenant il faut lire 2b.

      Le TT n'est pas un jeu. Ce n'est pas pour tromper. C'est pour vraiment générer toutes nos capacités à tel point qu'on ne peut pas distinguer le candidat d'un de nous (le long d'une vie, si nécessaire).

      Le jeu d'imitation n'était qu'une introduction.

      Et c'est quoi, la hiérarchie de Turing: T2, T3 T4?

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  2. Pour réussir le test de Turing, une machine devrait savoir faire tout ce qu’un être humain sait faire, ce qui correspond au niveau T3 du modèle hiérarchique de Turing : Total indistinguishablity in robotic (sensorimotor) performance capacity. Si une machine est programmée pour atteindre cette exigence, elle sera alors indistinguable de l’humain et il sera possible de considérer que ses entrées et ses sorties sont équivalentes à celles auxquelles l’être humain est exposé. Cependant, cela n’explique pas encore les processus de la cognition humaine car nous ne pouvons savoir s’ils sont équivalents aux processus régissant le lien entre les entrées et les sorties de la machine, soit la computation. Selon Harnad, la proposition de Turing n’est qu’une démonstration de la capacité de performance, alors que la pensée est un état mental, observable seulement par l’activité neuronale, et non par la performance.

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  3. Alors, le Test de Turing est un test mettant en scène l'intelligence artificielle. Le but d'Alan Turing consiste à créer des machines quelconques, ayant une capacité intellectuelle. Turing a émit une hiérarchie très importante à son test. Cette hiérarchie établit cinq niveaux au Test de Turing, des niveaux de similitude.
    T1 : Machine distingue en apparence de l'humain, pouvant effectuer une tâche spécifique, comme jouer aux échecs par exemple. (Sous-catégorie)
    T2 : Machine pouvant effectuer une conversation par email avec un humain, et que ce dernier ne fasse aucune différence entre la machine et un vrai humain.
    T3 : Machine pouvant effectuer une tâche motrice de manière indistingue de l'humain (l'animal).
    T4 : Machine identique, autant dans ses capacités externes que internes, à l'humain, seulement son apparence physique est différente.
    T5 : Finalement, machine identique à l'humain; Identique autant au niveau de toutes les capacités que l'apparence humaine.

    Turing ne sait jamais vraiment prononcé sur jusqu'à quelle niveau de la hiérarchie ses intentions étaient portés. L'histoire reste toujours un peu flou.

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  4. Le test de Turing est un système qui permet d’évaluer les capacités performatives d’une machine non-humaine et humaine. Plus la machine est élaborée, plus elle regroupe plusieurs des capacités humaines, c’est-à-dire ses capacités intellectuelles, neuronales, jusqu’à physique même. Pour identifier à quel niveau une machine se situe, Turing a élaborée la hiérarchie Turing : T0 (jeux), T2 (courriel), T3 (robot), T4 (neurologique) et T5 (physique). En sciences cognitives, nous nous intéresserons qu’aux T2 à T4, en fait, aux données immatérielles d’un sujet parce que c’est le mécanisme interne de la pensée que celles-ci veut observer. Ainsi le test de Turing cherche à comprendre si la machine peut être égale aux capacités humaines sans considérer sa nature physique. Ce test s’appliquerait à toutes les machines, mais plus spécifiquement aux ordinateurs puisqu’ils sont les seuls vraiment capables de consolider toutes les tâches d’un humain en un seul système. Ainsi, de ce test, de cette capacité aux machines à pouvoir égaler l’humain, est-ce que ces dernières pensent comme l’humain? Si les mêmes systèmes que l’humain sont exploités pour arriver au même résultat pourquoi est-ce qu’il faudrait nier l’existence de la pensée dans une machine non-humaine?

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  5. Le test de Turring essai de comprendre et hiérarchise si les capacités d’une machine peuvent égaler celle d’un humain au niveau de l’intellect. Le test est séparé en 5 niveaux. Dont le premier est l’apprentissage d’un jeu et y développer une stratégie qui lui sera propre pour lui permettre l’interaction avec l’humain. Et dont le dernier sera d’être indistinguable de l’humain autant en apparence qu’en motricité, qu’en intellects.
    Turring s’est penché sur le mécanisme interne de la pensée et s’est posé la question à savoir si l’on pouvait recréer le potentiel de pensée qui se rapprocherait le plus possible de l’imitation de la pensée humaine, de tel à ne pas pouvoir les distinguer l’une de l’autre. À savoir si une machine étant dans un état fini qui le mène vers un autre état et ainsi de suite (sous forme d’algorithme ) pourrait reproduire voire être, une pensée

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  6. Turing ne se pose pas la question à laquelle nous ne pouvons guère répondre à cause du Problème des Autres Esprits. C'est-à-dire "Les machines pensent-elles ?". Il se pose plutôt la question si ces dernière peuvent générer une performance empiriquement observable qui correspondrait à ce qu'un être pensant pourrait faire. Dans ce cas-ci, on parle es aptitudes verbales, cela ne veut pas dire,cependant, que Turing pensait que toute pensée est verbale. Par rapport au Test de Turing, on se pose 2 questions : "Les deux candidats ont-ils la même capacité de performance ?" (pour le scientifique) et "Pouvons-nous les distinguer, en nous basant seulement sur la capacité de performance, de manière à détecter si l'un est un être humain pensant et l'autre juste une machine?".

    Harnad ajoutera que le but du test n'est pas simplement d'induire l'erreur chez le participant un certain nombre de fois, mais bien de créer une machine totalement indistinguable. Plus tard, il y a mention que le T2 (Le stade de l'acquisition des capacité verbales totale) ne serait guère suffisant malgré le fait qu'il est le stade présenté par Turing dans son éponyme test. En effet, le T3 (un stade supérieur comprenant la capacité de performance sensorimotrice). Cependant les stade T5 ET T4, qui contiennent contenant des changements morphologiques et fonctionnelles seulement et non une hausse de capacité performative, se voient rejeté par Harnad et Turing.

    Les raisons pour laquelle un T3 est nécessaire pour le test de Turing sont multiples. Entre autres, les capacité langagières sont surement dû à des aptitudes non-verbales sensorimotrices et l'autonomie dans le monde du T3 lui confère la possibilité d’être influence par de du vrai monde. En effet, il serait suspect de réaliser que le correspondant n'est jamais capable de commenter sur des événements contemporains et une incapacité à identifier le contenu des photos qu'on lui envoi, un problème éviter pour le T3 qui possède nos aptitudes sensorielles.

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